PRENEZ LA PORTE...
Et voila, après la peinture, la menuiserie. Oh je sais, vous allez me dire: Changer une porte c'est l'enfance de l'art. Sauf si vous vivez dans une maison qui, une fois pour toutes, a décidé d'ignorer l'angle droit.
Je vois déja Jean-yves qui se marre lui qui maîtrise la bricole comme pas un. Donc, après une petite visite au Castorama du coin - vous savez: Chez Casto y'a tout c'qui faut - retour à la maison avec une porte toute neuve. Oui mais voila, ça ne passe pas! Les gonds sont trop haut, les pommelles trop bas, et de toute façon, cette fichue porte a 3mm de trop. A moins que ce ne soit le chambranle qui en ait trois en moins, allez savoir. Reste la solution du rabot. Evidemment, tout un chacun a un rabot sous la main, dans son atelier, dans un tiroir de la cuisine, dans un carton datant du dernier déménagement. Comment peut-on vivre sans un rabot ? Si ce n'est les deux pieds dans le même! (jeux de mot, Capelo)
Je vous raconte ça mais, véritablement, cet huis me porte sur les nerfs (on dirait du Prévert). Bon, c'est pas tout, faut s'y remettre. La suite des aventures d'un bricoleur du samedi lors d'un prochain billet.
TOUT AUTRE CHOSE.
Pendant ce temps, à France Télécom, l'hécatombe continue. A Lannion, à nouveau un salarié a tiré sa révérence de façon définitive. Ca me rappelle une boite dans laquelle je travaillais et où, sur la fin, le management par le stress était devenu une religion. J'ai une pensée émue pour ceux qui restent. Allez, à demain peut-être.