LE MARCHAND DE SABLE...
Amis de la mélancolie slave et du bortch épicé réunis, bonjour !
En ce matin du vendredi 25 février, je me surprends atteint d'une flemmingite aigüe. J'en profite donc pour vous laisser apprécier ce document que m'a gentiment indiqué Jean-Yves, merci à lui. C'est une petite merveille de sensibilité qui évoque à partir d'une boite à lumière et d'un peu de sable, l'histoire de l'Ukraine. L'artiste s'appelle Kseniya Simonova's et ça dure quelques minutes; prenez le temps de déguster (plein écran).
Un verre de vodka s'impose !
Comment est-il possible que l'humanité soit capable de produire à la fois tant de beauté et tant d'atrocités ? Je ramasse les copies demain.
Ce 7è jour de ventôse est celui de l'alaterne. Vous connaissez la chanson, les aristocrates à l'alaterne...Non, je plaisante, il s'agit d'une plante communément appelée, le prunier noir qui produit des baies rouges puis noires.
Pour notre galerie de portraits.
Le 25 février 1749 voit la naissance de Jean-bon Saint André révolutionnaire et marin émérite. Il participa notamment à cette fameuse bataille au large d'Ouessant du 1er juin 1794 face aux anglais. Bonaparte le nomme commissaire général des trois départements de la rive gauche du Rhin, en décembre 1801, puis préfet du département du Mont-Tonnerre à Mayence en septembre 1802, où il confirme sa réputation d’administrateur exceptionnel. En remerciement de ses services, Napoléon le fait chevalier de la Légion d'honneur en 1804, puis baron d’Empire, baron de Saint-André, en 1809.
Le typhus l’emporte en 1813. Il est enterré au cimetière principal du Mayence.
Franc-maçon actif, Jean Bon de Saint André fut le premier Vénérable Maître de la Loge « Les Amis de l’Union » de Mayence, fondée en 1803, et qui existe toujours aujourd’hui dans cette ville sous l’appellation « Die Freunde zur Eintracht ».
Voila pour aujourd'hui, merci de votre attention et de votre fidélité, portez vous bien et à demain peut-être.