MAMZELLE ANGELE...
Amis de l'oxymore et du kig ha farz réunis, bonjour !
Nous sommes le 29 octobre 2011, ce jour, 8è de brumaire, est dédié à la scorsonère, dite salsifis noir dont la racine est censée guérir de la morsure des vipères (scorzone en italien). Voici un court portrait d'un poète et philosophe libertaire, Jean-Marie GUYAU.
Il nous laisse sa poésie et ses ouvrages philosophiques : "Morale d'Epicure", et encore "Problèmes de l'esthétique contemporaine" et "l'Art au point de vue sociologique", mais c'est surtout à ses derniers ouvrages "Esquisse d'une morale sans obligation ni sanction" (1884) et «l'Irreligion de l'avenir" (1887) qu'il doit sa notoriété internationale et rejoint les préoccupations des anarchistes dans son approche d'une société libertaire et d'une morale au service de l'individu. Il sera abondamment cité par Nietzsche dans son « Ecce homo ».
"Aussi longtemps qu'un criminel reste vraiment tel, il se place par cela même au-dessus de toute sanction morale; il faudrait le convertir avant de le frapper, et, s'il est converti, pourquoi le frapper ?"
Tiens, petite comptine pour Malone, en rapport avec ce qui suit...
A part cela, vous qui n'avez pas raté une miette de la leçon de morale du professeur Nicolas 1er, vous avez remarqué j'en suis sûr, la pauvreté intellectuelle des arguments... En bref, tous les maux de la terre sont dus aux 35 heures, à Mitterand, à la gauche irresponsable. Pour un peu il aurait entonné, c'est la faute à Voltaire. Lui, il a épargné au monde un cataclysme majeur, il est le sauveur suprême, le deus ex machina. Avec sa copine Angèle ils font un duo du tonnerre de Dieu ! Il faut que je fasse attention, ils sont bien capable de dégrader ma note, j'y tiens moi à "AAA".
Allez, portez vous bien et à demain peut-être.